Mathieu Coquerelle

L'énigme du Sphinx ne peut pas tout résumer. Nous sommes bien plus que cela. Il nous faut bien plus que nos jambes pour ce chemin parcourir. Aux carrefours des possibles, il faut choisir sa voie, cultiver son âme, fléchir et analyser le plan. Réfléchir.

Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

L'énigme du Sphinx ne peut pas tout résumer. Nous sommes bien plus que cela. Il nous faut bien plus que nos jambes pour ce chemin parcourir. Aux carrefours des possibles, il faut choisir sa voie, cultiver son âme, fléchir et analyser le plan. Réfléchir.

Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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Et, à la moitié du parcours, la fatalité, et son jugement subir, revoir. La luxuriance comme honorable solution, peut-être un exutoire ; qui sait ? Qui croire ?

Alors, avant de partir, un jour, la vie laisser et nous envahir.

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